mercredi 10 février 2010

Cette famille modèle, j’en ai longtemps rêvé: un père, une mère, des enfants et de l’amour. De l’amour sans haine. De l’amour partagé. Sans limite. L’amour avec un grand A pour ne former plus qu‘un: La famille. J’ai beaucoup rêvé de vivre ce bonheur provoqué par la complicité. J’aurais aimé être enivrée dans ce tourbillon d’où tu ne peux plus sortir tellement tu es emporté par ce vent de sincérité qui te sécurise. Seulement voilà, je me suis trompée de chemin. Et j’ai choisis la direction qui m’a menée à la tempête. Là où le bonheur n’est pas provoqué par la complicité mais où la maladie entraîne la douleur. Là où la violence devient reine. Se déchirer, se faire du mal, se détruire, se détester, se faire pleurer. Une tempête de haine, de colère, de dégoût qui éclate & détruit tout sur son passage. Qui détruit mon petit cœur dont il ne reste que des miettes: le manque, la souffrance & l’absence.

2 commentaires:

  1. Je te l'avais dis, qu'il serait encore magnifique. C'est si pathetique, de faire des articles magnifiques, sur une vie qui est loin de tout ça. Je suis là et encore là...

    Je t'aime si fort.

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  2. Magnifique le mot est fort.
    Désolée d'être si distante depuis un moment, mais quand ça ne vas pas je m'isole et tu le sais. Et sors toutes ces mauvaises idées de ta tête. Parce que tu ne me perdras pas, & que je t'aime aussi.

    Moi - Ek Het Jou Liefe - Toi
    Petite soeur Marrau ( L )

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